6.1.06

Three portraits of a violent man

''Characteristically, it was violence that brought him back to office after the first intifada and Yitzhak Rabin's Oslo peace deal with the PLO collapsed. Sharon's provocative visit to Jerusalem's Temple Mount in October 2000 was a trigger for a second, deadlier Palestinian uprising.''

"He did not have any ability to give and take like some other Israeli politicians. His entire policy was based on violence. And violence only breeds violence here in Palestine. All we can hope for now is that someone better will replace him - someone who at the very least understands our concerns as a Palestinian people."

''Pas plus que les Israéliens n'avaient regretté Yasser Arafat, les Palestiniens ne pleureront Ariel Sharon. C'est peu dire que l'ancien général est associé dans l'univers mental palestinien aux aspects les plus sombres d'Israël, et cela en dépit du retrait historique de Gaza. Le passé militaire d'Ariel Sharon explique pour une large part cet ancrage. Des coups de mains des années 1950 à la mise au pas de Gaza au début des années 1970, Ariel Sharon a conservé, aux yeux des Palestiniens, une image de guerrier brutal et sans scrupules. Cette image négative a été renforcée par le passage en politique de l'ancien général, devenu à partir de cinquante ans, au cours de ses multiples fonctions ministérielles, la cheville ouvrière de la colonisation de Gaza et de la Cisjordanie.''

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